Free Car Project

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The one who pays is the one who makes money out of it.

Foreword

All projects detailed in this website have been thought in order to develop new alternative economical profits for car manufacturers, while based on lighter, sexier and, at last, ecologically sustainable automobiles. Their strategy consisting of selling “ever more product into the product” is no longer viable.

Car manufacturers, which have the power, the skills, the know-how, the legitimacy to spread large-scale new green mobility solutions, should now rethink their strategy to find profitability in the wide “around-the-car” eco-system, rather than only in the sales of overpriced obese products.

There are of course, other points of view to deal with ecological mobility issues, like city planning, public transportation, services companies, bikes,… but the automotive industry is the main one which can solve efficiently the larger part of the mobility and ecological problems. Furthermore car manufacturers have to find absolutely a way out of these ecological and economic crisis they have stuck themselves into.

FREE CAR PROJECT ©2008

Mother Earth needs to be relieved.

But the car today weighs 1300kg on average (including 500kg of old school marketing promoting over equipment).

Everyone needs an affordable car: youngsters, seniors, unemployed persons, families, craftsmen, jet-setters on the loose and now emerging countries.

But people don’t have money anymore.

And automakers are losing money.

However a popular car once sold, creates an annual business turnover of € 3,700 for its functional costs (energy, insurance, maintenance, parking, tolls,…) and of € 2,900 in the shopping malls.

Quite a lot of money, knowing that a car lives 15 years on average. Small helpful ones live even longer.

On-the-road price of a sustainable, practical, light car can be effortlessly maintained below € 6,000, which represents only 5% of the business turnover generated by its lifetime use.

What if we’ll start approaching the management of real life’s network like Google and Apple are considering the virtual network? Their business model of micro-commissions on uses has proven itself. Knowing that the real life business turnover on the roads is already 3 times more important than on the internet, and will expand with the new mobility services development.

But with the current economic model of “selling products”, this range is not rewarding enough in terms of cash nor Brand image, to give automakers envy to get involved. At its launch, the Dacia Logan, whose manufacturing cost is estimated at € 3,200 by AutoJournal magazine, was sold an average of € 10,000 with options, with an operating margin of 6 to 8%.

Nevertheless the new digital economy shows everyday how profitable it is to valorize the use, thanks to management of micro-transaction fees when trade. Even more, the one who pays is the one who makes money out of it.

Our calculations reveal that a new complementary range of iconic and solid cars such as Free Market Places opened to new stories allows incomes amounting to € 500 per car and per year! (and even € 1,500 in case of car sharing).

Thanks to its simple and lightweight design, the free car is more environmentally friendly to produce, to drive and is sustainable because the longer you keep the car the more profitable is the system for both the user, the manufacturer, dealers and.. the planet.

Last but not least, labor costs through simplified industrialization becomes minimal in front of astronomical profits coming from use of the Free Car. Thus offshoring becomes even more absurd.

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Avant-propos

Tous les projets présentés sur ce site ont été réfléchis afin de développer de nouveaux bénéfices économiques alternatifs pour les constructeurs automobiles, tout en se basant sur des automobiles plus légères, plus élégantes et, enfin, écologiques et durables. Leur stratégie consistant à vendre «toujours plus de produit dans le produit» n’est plus viable.

Les constructeurs automobiles, qui ont le pouvoir, les compétences, le savoir-faire, la légitimité pour diffuser de nouvelles solutions de mobilité verte à grande échelle, devraient désormais repenser leur stratégie de recherche de rentabilité dans le vaste écosystème «autour de la voiture», plutôt que dans les ventes de produits obèses trop chers.

Il y a bien sûr d’autres points de vue pour traiter des questions de mobilité écologique, comme l’urbanisme, les transports publics, les sociétés de services, les vélos,… mais l’industrie automobile est la plus efficace pour résoudre efficacement la plus grande partie des problèmes de mobilité écologiques. De plus, les constructeurs automobiles doivent absolument trouver un moyen de sortir de cette crise écologique et économique dans laquelle ils se sont enfermés.

 

FREE CAR PROJECT ©2008

La planète a besoin de légèreté.

Pourtant la voiture aujourd’hui pèse en moyenne 1300kg (dont 500kg de suréquipement marketing old school)

Tout le monde a besoin d’une voiture “pas chère”: les retraités, les jeunes, les familles, les artisans, les jet-setters en transit, et maintenant les pays émergents.

Mais les gens n’ont plus d’argent.

Et les constructeurs automobiles perdent de l’argent.

Cependant une voiture populaire, après sa vente, crée un chiffre d’affaire annuel de 3.700€ pour son usage (carburant, assurance, entretien, parkings, péages,…) et de 2.900€ dans les centres commerciaux.

Une sacrée somme, sachant qu’une voiture vit en moyenne 15 années. Et les petites bien pratiques rendent service encore plus longtemps.

Le prix de revient clés en main d’une automobile pratique, légère et durable peut largement être contenu sous les 6.000€, et donc ne représenter que 5% du chiffre d’affaires qu’elle générera durant sa vie autour d’elle.

Pourquoi n’aborderions nous pas la gestion des réseaux de la vie réelle comme les Google et Apple envisagent le réseau virtuel? Leur business model de micro-commissions sur les usages a fait ses preuves. Sachant de plus que le chiffre d’affaires réel sur les routes est déjà 3 fois plus important que sur Internet, et se développera avec le développement des nouveaux services de mobilité.

Mais, avec le modèle économique actuel de vendre des produits, ce segment n’est pas valorisant ni en terme de trésorerie, ni en image de marque pour donner l’envie au constructeurs de s’y investir. La limite actuelle est la Dacia Logan, dont le prix de revient de fabrication est estimé à 3200€ par l’Auto-Journal, vendue en moyenne 10.000€ avec options, avec une marge opérationnelle de 6 à 8%.

Toutefois, la nouvelle économie numérique démontre tous les jours qu’il est incroyablement profitable de valoriser l’usage sous forme de micro transactions lors des échanges commerciaux. Et celui qui a intérêt à payer l’outil, est celui qui gagne de l’argent avec.

Nos calculs montrent qu’une nouvelle gamme complémentaire d’automobiles, solides et iconiques, dessinées comme des Market Places Gratuites, et ouvertes à de nouvelles histoires permet des revenus d’un montant de 500€ par voiture et par an! (et même 1500€ en cas d’utilisation partagée).

De par sa conception simple et légère, la voiture gratuite est plus écologique à fabriquer, à conduire et est durable car plus longtemps on conserve sa voiture plus le système est rentable à la fois pour l’utilisateur, le constructeur, les marchands et… la planète.

Autre avantage de ce modèle économique, la part du coût du travail lors de cette industrialisation simplifiée devient minime face au montant astronomique des revenus de l’usage. De ce fait les délocalisations deviennent encore plus absurdes.

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